Les pièges à calories à l'approche de Noël
Il vaut mieux éviter ces aliments
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Biscuits, vin chaud, pain d'épices : Ce qui semble être un plaisir pendant la période de l'Avent peut rapidement devenir une bombe calorique cachée. Les classiques comme les pommes de terre en pâte d'amande, les amandes grillées ou les biscuits au saindoux sont extrêmement riches en sucre et en graisses - souvent sans rassasier longtemps. Il n'est pas rare que ceux qui en consomment tous les jours sans s'en rendre compte prennent quelques kilos avant les fêtes.
Les petites portions ont un effet particulièrement insidieux ; un seul domino peut contenir plus de calories qu'une tartine de fromage entière. Cet article montre quelles friandises de Noël pèsent particulièrement lourd et comment savourer consciemment en décembre sans renoncer à l'ambiance et au goût.
De petits en-cas aux grands effets
Outre les classiques sucrés bien connus de la période de Noël, de nombreux autres pièges caloriques se cachent, souvent sous-estimés. Le Stollen, par exemple, contient beaucoup plus d'énergie qu'une petite tranche ne le laisse supposer, grâce à l'abondance de beurre, de noix et de fruits secs. Les spéculoos ou les étoiles à la cannelle apportent également une quantité surprenante de calories en raison de leur teneur élevée en sucre et en graisses, d'autant plus qu'ils sont rarement consommés individuellement, mais le plus souvent en rafale. À cela s'ajoutent les figurines en chocolat que l'on trouve presque partout à l'approche de Noël : Un seul Père Noël en chocolat peut dépasser les besoins énergétiques d'un repas entier.
Mais les friandises ne sont pas les seules à présenter des pièges. Les pâtisseries cuites à la friteuse comptent également parmi les pièges caloriques sous-estimés. Les pâtisseries au saindoux, par exemple, absorbent de grandes quantités de graisse lors de la cuisson, ce qui augmente massivement leur valeur énergétique. En combinaison avec des sucreries, le bilan dépasse rapidement les besoins quotidiens. A cela s'ajoutent les tentations liquides comme le vin chaud, le punch ou la liqueur aux œufs. Ils fournissent du sucre et de l'alcool sous forme concentrée et inhibent en même temps la combustion des graisses. De plus, en plus des boissons, on consomme généralement des aliments solides. Résultat : un surplus de calories qui augmente sans que l'on s'en rende compte, alors que l'on croit en fait n'avoir savouré que "quelques petites choses".
Ce qui est particulièrement insidieux, c'est que ces aliments ne rassasient guère durablement. La combinaison de sucre et de graisse permet certes de se régaler rapidement, mais la sensation de faim revient vite. De ce fait, les portions s'accumulent sans qu'une véritable sensation de satiété n'apparaisse, et c'est précisément ce qui rend les petits en-cas si dangereux pour le bilan calorique.
Pourquoi la faim revient-elle rapidement ?
Le véritable problème de nombreuses friandises de l'Avent est profond : le sucre et les graisses fournissent certes beaucoup d'énergie, mais n'alimentent guère le corps en fibres ou en protéines. C'est pourquoi la sensation de satiété n'est que de courte durée, et la prochaine fois que l'on se sert d'une boîte de biscuits, c'est déjà trop tard. Les personnes qui grignotent régulièrement accumulent ainsi jour après jour des calories qui peuvent se transformer en un net excédent pendant toute la période précédant Noël - il n'est pas rare que la balance en fasse état avant les fêtes.
Le plaisir avec modération plutôt que le renoncement
Se priver n'est pourtant pas une solution, car la période de l'Avent vit justement de ses traditions culinaires. Il est plus judicieux de savourer avec modération et d'appliquer de petites stratégies pour maintenir l'équilibre. En choisissant de manière ciblée ses friandises préférées et en les planifiant consciemment au lieu de grignoter sur le pouce, on peut allier plaisir et contrôle. Il est également utile de ne pas laisser les sucreries ouvertes ou de les combiner avec des aliments protéinés pour que la sensation de satiété dure plus longtemps. Il en va de même pour la boisson : l'eau ou le thé devraient avoir la priorité, tandis que le vin chaud ou le punch servent d'exception délibérée. Il est ainsi plus facile de garder un œil sur le bilan calorique sans que l'ambiance en pâtisse.
En fin de compte, la période précédant Noël reste une fête des sens ; le plaisir partagé en fait également partie. Mais en connaissant les plus grands pièges à calories, on comprend mieux pourquoi les petites portions ont souvent un si grand effet. Avec un peu d'attention, il est possible de profiter pleinement de l'Avent tout en gardant un poids stable et en se faisant plaisir.
Note: Cet article a été traduit à l'aide d'un système informatique sans intervention humaine. LUMITOS propose ces traductions automatiques pour présenter un plus large éventail d'actualités. Comme cet article a été traduit avec traduction automatique, il est possible qu'il contienne des erreurs de vocabulaire, de syntaxe ou de grammaire. L'article original dans Allemand peut être trouvé ici.